la myopie chez nos classes dirigeantes
L’approbation de Laurent Lamothe comme Premier Ministre, en toute hâte, par le sénat de la république dont le mandat du tiers est arrivé à terme, malgré les anomalies dans son dossier, atteste manifestement que cette entité étatique est une véritable officine. Ce grand corps virtuel de grandeur nature n’a jamais joué pleinement son rôle de troisième pouvoir comme l’exige la constitution haïtienne. Au contraire, ces parle-menteurs, trop souvent impliqués dans des scandales de malversations, de crime et de corruption, ont réussi avec brio et déshonneur leur mission scélérate : destruction systématique des structures fragiles de l’état. Un comportement odieux ou toutes les mesures et décisions adoptées au nom de la nation sont sans conviction politique ni idéologie, refoulant aux pieds les normes de l’éthique et de la morale.
Depuis l’adoption du système de gouvernement bicéphale, contrôlé par les parle-menteurs, experts en supercheries, le pays n’a connu aucun répit dans les chapitres du sous-développement, de la violation de notre constitution et du gaspillage des fonds du trésor public. L’ignorance de nos politiciens et leur piètre gestion des deniers publics inspirent, à juste titre, les grandes institutions internationales au maintien d’Haïti à sa fameuse place dans le palmarès des pays les plus corrompus de la planète. Avant-dernière, si ma mémoire est bonne. Malgré les subterfuges utilisés par nos hommes de pouvoir pour amadouer l’opinion publique sur leurs bévues, la population ne sera dupe. Quoiqu’ils disent, quoiqu’ils fassent, ces gestionnaires de l’État n’échapperont pas à la vindicte populaire lorsque viendra le jour où ils devront rendre compte de leur gestion de la chose publique.
Denis Jules
Depuis l’adoption du système de gouvernement bicéphale, contrôlé par les parle-menteurs, experts en supercheries, le pays n’a connu aucun répit dans les chapitres du sous-développement, de la violation de notre constitution et du gaspillage des fonds du trésor public. L’ignorance de nos politiciens et leur piètre gestion des deniers publics inspirent, à juste titre, les grandes institutions internationales au maintien d’Haïti à sa fameuse place dans le palmarès des pays les plus corrompus de la planète. Avant-dernière, si ma mémoire est bonne. Malgré les subterfuges utilisés par nos hommes de pouvoir pour amadouer l’opinion publique sur leurs bévues, la population ne sera dupe. Quoiqu’ils disent, quoiqu’ils fassent, ces gestionnaires de l’État n’échapperont pas à la vindicte populaire lorsque viendra le jour où ils devront rendre compte de leur gestion de la chose publique.
Denis Jules
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